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Le BCO déroule contre Cergy !

Samedi soir, le BC Orchies a glané sa septième victoire consécutive contre les Spartiates de Cergy-Pontoise, dans un match à sens unique. Jamais inquiétés, les hommes de Ludovic Pouillart enchaînent et préparent de la meilleure des manières leur déplacement à Andrézieux, où ils voudront se rattraper après une performance médiocre au match aller (défaite 75 à 89).

Orchies puissance 7

Le plan s’est déroulé sans accroc pour le BC Orchies. Une nouvelle fois poussé par une Pévèle Aréna chauffée à bloc, le club du Nord n’a pas eu de mal à se défaire de Cergy, onzième au classement. D’entrée, Joe Burton ne laisse aucune chance à son vis-à vis et règne dans la raquette. Comme souvent omniprésent au rebond, il gratifie aussi la salle de deux caviars à l’aveugle et permet au BCO de tout de suite prendre le large (26-16, 10’). Dominés dans toutes les catégories statistiques, les Cergyssois ne s’en sortent pas face aux vagues incessantes du BC Orchies. Aussi, après Burton, c’est Venckus qui prend le relais pour écœurer la défense adverse : 5/7 au tir sur le second quart-temps, tout en décontraction. Il accentue logiquement l’avance de son équipe, qui regagne les vestiaires avec 17 unités de marge (48-31).

De retour bien plus tranchant, le club de la banlieue parisienne retrouve de l’adresse et contient le BC Orchies. Les Nordistes sont en deçà de leurs standards. Romain Hoeltzel écope de son côté de deux fautes antisportives sur cette période et est donc obligé de rejoindre prématurément les vestiaires, sous l’incompréhension du public. Ajoutant à cela le sursaut d’orgueil défensif des Spartiates, après avoir complètement pris l’eau en première période, Cergy remporte finalement d’un petit point ce troisième quart-temps (63-47, 30’). Ce moment provoque une pointe de déception chez le technicien Ludovic Pouillart. « C’est probablement dû à l’écart au score, mais on s’est relâchés. C’est le gros point noir du match », avoue-t-il. L’ancienne équipe de Mike Benhamed conserve alors des espoirs de revenir, à l’entame des dix dernières minutes.

✍🏻 les reporters incrédules

📸 Doriane michalak

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